Infection nosocomiale
L'infection nosocomiale I.N est un problème de santé publique majeur, affectant des patients dans les hôpitaux et autres centres d'I.N comme en clin. en France par exemple. Elle se manifeste par une infection (germes) acquise lors d'une hospitalisation qui n'était ni présente ni en incubation au moment de l'admission, donc aucun lieu avec l'état antérieur de la victime.
Ces affections et maladies, causées par des bactéries, virus, champignons ou parasites, peuvent entraîner une prise de risque complications graves, prolonger l'hospitalisation et augmenter la mortalité. La prévention passe par des gestes hygiéniques rigoureux, le respect des protocoles d'asepsie et une gestion efficace de l'antibiorésistance.
L'intervention d'un avocat en prévalence d'accidents médicaux est cruciale lors d'un dommage corporel telle que l'I.N. L'avocat en code civil et code pénal défend les intérêts de la victime, veille à la reconnaissance de ses droits et aide à obtenir une indemnité adéquate pour les préjudices subis. Il guide également la victime à travers les complexités juridiques et médicales en France.
Ce qu'il faut savoir sur les I. nosocomiales
Quelles sont les I.N les plus fréquentés ?
Les I. nosocomiales et germes en tous genres associés aux traitements médicaux sont contractés par les opérés lors de leur séjour (chirurgie, réanimation...) dans des centres hospitaliers ou en clin. Elles représentent un problème majeur de santé publique nationale dans le monde entier, car elles entraînent une morbidité et une mortalité accrues, ainsi qu'une augmentation des coûts médicaux.
Voici quelques-unes des I.N les plus fréquentes :
I. des voies respiratoires : les pneumonies nosocomiales sont les plus courantes dans les milieux hospitaliers, principalement associées à l'utilisation de ventilateurs chez les opérés sous assistance respiratoire.
I. des voies urinaires : elles sont souvent liées à l'utilisation de cathéters urinaires. Chaque bactérie peut remonter le long du cathéter et provoquer un problème au niveau de la vessie ou des reins.
I. des sites opératoires : elles se produisent après une intervention chirurgicale et peuvent affecter la plaie chirurgicale. Les opérés ayant subi une chirurgie abdominale, chirurgie cardiaque ou orthopédique sont plus susceptibles de les développer.
I. sanguines : la septicémie, surviennent souvent en raison de l'utilisation de cathéters veineux centraux. Les bactéries peuvent pénétrer dans le sang par le cathéter et se propager dans tout le corps.
I. cutanées : les staphylocoques résistantes à la méticilline (SARM), peuvent se développer à partir de plaies, de brûlures ou de sites d'injection.
I. gastro-intestinales : elles peuvent être causées par le Clostridium par exemple, qui prolifèrent souvent dans les hôpitaux en raison de l'utilisation d'antibiotiques à large spectre.
I. fongiques : les germes et champignons opportunistes, tels que Candida et Aspergillus, peuvent provoquer des affections chez les opérés immunodéprimés ou ceux qui ont reçu des traitements à base d'antibiotique à long terme.
Pour prévenir la propagation nationale des I.N et sa prise de risque, les hôpitaux et les centres hospitaliers effectuent des mesures rigoureuses d'hygiène des mains, de stérilisation des équipements médicaux, de précautions lors de la manipulation des cathéters et des plaies chirurgicales, ainsi que des programmes de surveillance et de contrôle. Les recommandations et la sensibilisation de l'équipe médicale à l'importance de ces mesures est également essentielle pour éviter tout risque et réduire le taux d'I.N.
Quels sont les signes d'I.N ?
Une I.N peut se manifester de différentes manières, selon le type de micro-organisme impliqué et la partie du corps touchée.
Voici quelques signes généraux d'une I.N :
Fièvre : une augmentation soudaine de la température du corps peut être le premier signe. La fièvre est la réponse de l'organisme à ces affections.
Douleur ou inconfort : les I.N peuvent causer des douleurs ou un inconfort dans la zone touchée. Par exemple, une I. urinaire peut provoquer une douleur ou une sensation de brûlure lors de la miction.
Rougeur, gonflement ou chaleur : ces signes peuvent indiquer un problème de la peau ou des tissus, comme des affections au site d'une plaie chirurgicale ou d'une injection.
Écoulement ou pus : un écoulement inhabituel peut être aussi un signe, en particulier si le liquide est épais, vert ou jaune, ou s'il a une mauvaise odeur.
Symptômes respiratoires : une toux persistante, un essoufflement ou une douleur thoracique pourraient signaler une affection pulmonaire.
Diarrhée : des changements dans les habitudes intestinales, en particulier la diarrhée, peuvent indiquer un problème au niveau gastro-intestinal.
Certaines I.N peuvent se développer sans symptômes évidents, surtout chez les opérés immunodéprimés. Par conséquent, la mise en place d'une surveillance attentive est nécessaire pour les identifier et les traiter rapidement. En présence de tels signes, il est recommandé de consulter rapidement un professionnel de santé et de faire appel à la prise en charge d'un prestataire en services juridiques par la même occasion.
Quelles sont les causes des I.N ?
Les I.N peuvent être causées par une variété d'agents pathogènes, notamment des types de germe de types bactéries, des virus, des champignons et des parasites. Certains de ces organismes sont naturellement présents dans notre corps mais peuvent causer des problèmes lorsque notre système immunitaire est affaibli ou lorsqu'ils pénètrent dans une partie du corps où ils ne devraient pas se trouver.
Les environnements hospitaliers peuvent contribuer à la propagation de ces agents pathogènes. Un équipement médical inadéquatement stérilisé, des surfaces contaminées, ou le non-respect des protocoles hygiéniques peuvent tous faciliter les transmissions. De plus, les hôpitaux accueillent de nombreux patients immunodéprimés, ce qui peut en augmenter la susceptibilité.
Enfin, l'utilisation excessive et inappropriée d'antibiotiques peut entraîner l'émergence de bactéries résistantes aux médicaments, ce qui complique le soin des I.N. Ces "superbactéries" sont une cause majeure de préoccupation dans le domaine des traitements médicaux.
Quelles sont les conséquences des I.N ?
Les I.N associées aux soins médicaux, peuvent avoir une variété de conséquences, allant de légères à graves et peuvent même être fatales dans certains cas.
Voici un aperçu des conséquences potentielles des I.N :
Augmentation de la morbidité et de la mortalité : les I.N peuvent entraîner des complications médicales supplémentaires, une détérioration de l'état de l'opéré, une prolongation du temps de récupération et une augmentation du taux de mortalité. Par exemple, une I. post-opératoire peut entraîner des complications graves, comme une septicémie ou une I. du site opératoire.
Prolongation du séjour hospitalier : ces affections peuvent prolonger significativement la durée de l'admission hospitalière, ce qui augmente les coûts des traitements et la charge de travail de l'équipe soignante.
Résistance aux antibiotiques : l'usage fréquent et parfois excessif d'antibiotiques pour traiter les I.N peut favoriser l'émergence d'une bactérie résistante aux antibiotiques, rendant les affections futures plus difficiles à traiter.
Impact psychologique et qualité de vie : les patients atteints d'I.N peuvent éprouver une détresse psychologique due à l'incapacité, la douleur, la défiguration ou la peur du décès en cas d'echec lors de la réanimation. De plus, ils peuvent rencontrer des difficultés dans leur vie quotidienne et leurs activités, ce qui peut réduire leur qualité de vie.
Coûts économiques : les I.N représentent un fardeau économique significatif en raison des coûts supplémentaires liés au traitement prolongé, aux interventions chirurgicales supplémentaires, aux tests de diagnostic et aux médicaments. Elles peuvent également entraîner des coûts indirects, tels que la perte de productivité due à l'absence prolongée du travail.
Impact juridique : dans certains cas, les I.N peuvent conduire à des actions en justice, en particulier lorsque les infections sont dues à une négligence, à un manque de soins appropriés ou à une violation des protocoles de prévention.
Ainsi, la prévention et le contrôle des I.N sont essentiels pour minimiser ces conséquences et améliorer la qualité et la sécurité des soins médicaux.
Comment se débarrasser d'une infection nosocomiale ?
L'I.N est contractée lors d'un séjour à l'hôpital, que ce soit des hospitalisations en France ou dans un autre pays. Pour y remédier, la première étape est le diagnostic précis pour déterminer le type d'infection. Un médecin prescrira ensuite le traitement adéquat, qui peut comprendre des antibiotiques ou d'autres médicaments, selon la nature de l'I.N.
La prévention est un aspect essentiel de la lutte contre les I.N. Cela implique une hygiène stricte, notamment le lavage régulier des mains et le nettoyage de l'environnement hospitalier. Le respect des protocoles d'asepsie lors des interventions chirurgicales est également crucial.
Enfin, pour prévenir la propagation, il est crucial d'isoler les patients infectés. La surveillance régulière et la détection précoce des infections nosocomiales peuvent aider à minimiser leur impact. Tous ces efforts conjugués contribueront à une meilleure gestion des I.N.
Est-ce qu'une maladie nosocomiale est contagieuse ?
Oui, les I.N peuvent être contagieuses. Cela dépend du type d'agent pathogène qui a causé l'infection. Par exemple, certaines I.N sont causées par des bactéries résistantes aux médicaments, comme le Staphylococcus aureus résistant à la méticilline (MRSA) ou le Clostridium difficile, qui sont tous deux très contagieux.
Ces dernières peuvent se propager d'une personne à une autre par le contact direct ou indirect. Le personnel soignant peut involontairement transmettre l'infection d'un patient à un autre si les procédures de contrôle ne sont pas strictement suivies, comme le lavage régulier et minutieux des mains, l'utilisation de gants et de blouses et le nettoyage approfondi de l'environnement.
C'est pourquoi les établissements de soins médicaux mettent en œuvre des protocoles stricts pour contrôler et prévenir la propagation des I.N.
Quel sont les 2 types d'infection ?
L'infection peuvent être catégorisées de différentes façons, mais une classification commune les divise en deux types principaux : les infections communautaires et les infections nosocomiales.
Les infections communautaires : ce sont celles qui à l'origine sont acquises en dehors des établissements médicaux. Elles peuvent être contractées dans n'importe quel environnement, comme à la maison, à l'école, ou au travail. Par exemple, le rhume et la grippe sont des types courants d'infections communautaires.
Les infections nosocomiales : ces I.N sont contractées à l'hôpital ou dans tout autre établissement de soins de santé. Elles ne se manifestent pas nécessairement durant le séjour du patient à l'hôpital, elles peuvent aussi apparaître après la sortie. Les infections du site opératoire, les pneumonies associées à la ventilation mécanique, et les infections du tractus urinaire associées à un cathéter sont des exemples d'I.N.
Quelles sont les 5 voies de contamination ?
Les cinq principales voies de contamination sont les suivantes :
Contact direct : c'est le transfert d'agents infectieux d'une personne à une autre par contact physique, comme une poignée de main ou un câlin.
Contact indirect : c'est le transfert d'agents pathogènes via des objets inanimés ou des surfaces, comme les poignées de porte, les jouets, les ustensiles ou les appareils médicaux.
Voie aérienne : ces transmissions concernent les agents pathogènes présents dans les gouttelettes respiratoires qui peuvent être inhalées. Par exemple, la toux ou l'éternuement peut propager des maladies comme la grippe ou le COVID-19.
Voie orale-fécale : cette voie de transmission se produit lorsque des agents pathogènes sont ingérés, souvent en raison d'une mauvaise hygiène des mains ou de la consommation d'eau ou de nourriture contaminée.
Transmission vectorielle : les agents pathogènes peuvent être transmis par des vecteurs, comme les moustiques (pour le paludisme ou la dengue) ou les tiques (pour la maladie de Lyme). Ces vecteurs sont souvent des insectes qui transportent l'agent pathogène d'une personne à une autre.
Qui indemnise les infections nosocomiales ?
Les I.N sont des infections acquises lors d'un séjour dans un établissement de santé qui n'étaient ni présentes ni en incubation au moment de l'admission du patient. Elles représentent un enjeu majeur de S.P et de responsabilité légale.
En France, l'indemnisation des I.N est régie par la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé. Selon cette loi, l'établissement de santé est présumé responsable des I.N et doit donc indemniser le patient.
Cependant, les centres hospitaliers peuvent se décharger de cette responsabilité s'il prouve que l'I.N a une autre origine que celle d'une faute ou d'un manquement dans l'exécution des soins.
L'indemnité se fait souvent via l'assurance responsabilité civile du centre de santé. Si l'hôpital est incapable de payer, le patient peut se tourner vers l'Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux (ONIAM). L'ONIAM est un établissement public national chargé des indemnisations des victimes d'accidents médicaux, dont les I.N.
Le montant de l'indemnité dépend du préjudice subi : préjudice corporel, préjudice moral, préjudice esthétique, perte de revenus, etc.
La victime doit faire valoir ses droits. Pour cela, elle peut se faire aider par un avocat spécialisé en droit médical tel que MAITRE HUMBERT pour défendre ses intérêts.
Enfin, il est également possible de saisir la justice pour obtenir réparation. Le juge évaluera alors le lien entre l'I.N et les traitements reçus, la gravité de l'infection, les conséquences sur l'état de l'opéré et les coûts associés.
Ce que vous devez savoir sur l'ONIAM
L'ONIAM
L'Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux est un organisme public français créé en 2002. Il a pour but d'assurer la réparation intégrale des préjudices des patients victimes d'accidents médicaux, nosocomiaux ou d'infections iatrogènes.
Les missions de l'Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux
L'organisme a plusieurs missions principales. Tout d'abord, il se charge de l'indemnité directe des victimes dans certains cas particuliers, comme les accidents médicaux non fautifs, qui ne peuvent pas être pris en charge par les assurances.
De plus, il intervient en tant que garant lorsque les praticiens ou les centres hospitaliers ne peuvent pas ou ne veulent pas indemniser les victimes. Enfin, il est aussi chargé d'apporter un soutien financier aux victimes d'accidents médicaux lors de la procédure d'expertise médicale.
Le processus d'indemnité de l'Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux
Pour bénéficier d'une indemnité, les victimes doivent d'abord envoyer un dossier complet à l'office. Si le comité estime que le cas est recevable, une expertise médicale est alors réalisée pour évaluer les préjudices subis. L'office propose ensuite une offre d'indemnité à la victime, qui peut l'accepter ou la refuser. Si elle est refusée, la victime peut saisir le juge pour obtenir de meilleures indemnisations.
L'Office National d'Indemnisation des Accidents Médicaux et le système de santé français
L'Office joue un rôle crucial dans le système de santé français mais aussi en tant que comité dans la lutte contre les infections nosocomiales. Il garantit que les victimes d'accidents médicaux, d'I.N et de traitements médicamenteux puissent recevoir une indemnité pour leurs préjudices (même en cas de décès), même lorsque les professionnels ou établissements concernés ne sont pas en mesure de les indemniser. Ainsi, l'Office contribue à renforcer la confiance des patients.
Les limites et critiques de l'Office
Cependant, l'Office a également fait l'objet de critiques. Certaines victimes trouvent que les procédures d'indemnisations sont longues et complexes. De plus, les montants d'indemnité proposés sont parfois jugés insuffisants. Enfin, certaines victimes déplorent un manque d'accompagnement et d'information de la part de l'organisme. Malgré ces critiques, il reste un acteur essentiel du système des rouages médicaux.
Intervention d'un cabinet d'avocats et infections nosocomiales
Pourquoi faire intervenir un cabinet d'avocats pour une I.N ?
L'intervention d'un cabinet d'avocats est importante en cas d'I.N pour plusieurs raisons. D'abord, ce sont des professionnels qui peuvent aider à déterminer la responsabilité, car elle peut être due à une négligence médicale.
Ils peuvent rassembler et analyser les preuves médicales, aider à comprendre les complexités médicales et légales, et préparer une stratégie pour plaider efficacement le cas.
Ensuite, les professionnels du droit peuvent aider à calculer le montant adéquat des dommages et intérêts, en tenant compte de tous les coûts médicaux futurs et des pertes de salaire PGA et PGPF.
Ils peuvent aussi négocier avec l'hôpital ou les compagnies d'assurances. Enfin, ils peuvent naviguer à travers les complexités du système judiciaire et assurer que les droits des patients sont protégés tout au long du processus, en évitant que la victime soit exploitée ou mal comprise.
Quel type d'avocat pour défendre un cas d'I.N ?
Un avocat spécialisé en accidents médicaux est le plus approprié pour défendre un cas d'I.N. Ce type d'avocat comprend les réglementations et les standards de traitements médicaux et il est capable de naviguer dans les complexités des litiges. Ils aideront à prouver la négligence ou la faute du personnel et établiront le lien de causalité entre l'I.N et les dommages subis.
Quel est le rôle de l'avocat MAITRE HUMBERT en préjudice corporel et I.N ?
Maître Humbert, comme tout avocat en droit du dommage corporel, joue plusieurs rôles clés dans les cas d'I.Nosocomiales. Il est en mesure de vous donner le montant juste de vos indemnisations contrairement aux montants d'indemnité indiqués sur les forums de discussion I.N.
Évaluation du cas : Maître Humbert évalue le cas de son client en recueillant tous les détails pertinents et en évaluant si l'I.N peut être prouvée comme étant due à la négligence du centre ou du praticien mis en cause.
Collecte de preuves : il collecte les preuves nécessaires, y compris les dossiers médicaux, les témoignages d'experts médicaux et les témoignages de témoins pour prouver la faute médicale.
Représentation en justice : Maître Humbert représente son client lors des procédures judiciaires, plaide en faveur de son client, présente les preuves et conteste les arguments de la partie adverse.
Négociation de l'indemnité : si une faute médicale est établie, il négocie avec l'assureur ou les centres médicaux pour obtenir la meilleure indemnité possible pour son client. Cela peut inclure des dommages-intérêts pour la douleur et la souffrance endurée, les pertes de revenus professionnels, les coûts médicaux futurs et toute autre perte liée à l'infection.
Conseil : Maître Humbert conseille également son client tout au long du processus et en prévalence de certaines pathologies, expliquant les options disponibles, les risques et les avantages de chaque étape du processus judiciaire.
En somme, Maître Humbert joue un rôle crucial pour aider les victimes d'I.N à obtenir justice et indemnité pour les préjudices subis.
Quelles sont les missions de MAITRE HUMBERT lors de la défense des victimes atteintes d'une I.N ?
Maître Humbert a plusieurs missions clés lorsqu'il défend les victimes d'une I.N :
Conseil : il fournit des conseils juridiques, expliquant les droits du client et la marche à suivre pour prouver la négligence médicale et les conséquences de la faute I.N.
Collecte de preuves : il assemble des preuves pertinentes, notamment des dossiers médicaux et des déclarations d'experts pour établir l'existence de l'affection et démontrer que le centre ou l'équipe soignante est responsable.
Représentation juridique : il représente son client lors de procédures judiciaires ou de négociations avec les parties adverses pour obtenir une indemnité adéquate sans prendre de risques.
Négociation de l'indemnité : si la faute est prouvée, Maître Humbert négocie pour obtenir la meilleure compensation possible pour le préjudice subi par son client.
Ces missions sont toutes essentielles pour obtenir justice pour les victimes d'une I.N.
Quels sont les avantages de faire appel au cabinet d'avocats LEXVOX à Salon de Provence ?
Le cabinet d'avocats LEXVOX à Salon de Provence offre plusieurs avantages clés en prévalence des maladies :
Expertise approfondie : LEXVOX possède une expertise significative dans de nombreux domaines du droit, garantissant une compréhension approfondie des subtilités juridiques qui peuvent affecter votre cas et limiter les risques pendant la procédure.
Approche personnalisée : LEXVOX est réputé pour son approche centrée sur le client, en veillant à comprendre vos besoins spécifiques et à élaborer une stratégie qui répond le mieux à vos objectifs.
Disponibilité et communication : le cabinet s'engage à être disponible pour ses clients, à fournir des mises à jour régulières sur l'évolution de leur cas et à expliquer les complexités juridiques de manière accessible.
Excellente réputation locale : en tant que cabinet bien établi à Salon de Provence, LEXVOX jouit d'une excellente réputation auprès de la communauté locale, ce qui peut être bénéfique lors des interactions avec les tribunaux locaux et les autres professionnels du droit.
Équipe dédiée : l'équipe de LEXVOX est composée d'avocats compétents et dévoués, ce qui assure une représentation de qualité à chaque étape du processus juridique.
Approche holistique : LEXVOX examine tous les aspects de votre situation, ce qui leur permet de créer une stratégie complète pour votre cas.
Ces avantages font du cabinet LEXVOX un choix solide pour vos besoins et services juridiques à Salon de Provence.
Pour résumer
Les I.N peuvent gravement affecter une personne. La défense juridique joue un rôle crucial pour assurer la responsabilité hospitalière et protéger les droits de la personne opérée. Cependant, il est tout aussi vital d'améliorer la prévention et le contrôle de ces infections pour des environnements hospitaliers plus sûr. MAITRE HUMBERT avocat du code civil et du code pénal est en mesure de vous présenter un exemple
Ce que dit la loi sur l'infection nosocomiale
"L'agence de santé organise, en son sein, la lutte contre les infections nosocomiales, y compris la prévention de la résistance bactérienne aux antibiotiques. A cet effet, elle institue en son sein un comité de lutte contre les infections nosocomiales et définit un programme annuel d'actions tendant à assurer :
1° La prévention des infections nosocomiales, notamment par l'élaboration et la mise en œuvre de recommandations de bonnes pratiques d'hygiène ;
2° La surveillance des infections nosocomiales ;
3° La définition d'actions d'information et de formation de l'ensemble des professionnels de l'agence en matière d'hygiène hospitalière et de lutte contre les infections nosocomiales ;
4° L'évaluation périodique des actions de lutte contre les infections nosocomiales, dont les résultats sont utilisés pour l'élaboration des programmes ultérieurs d'actions."
Un peu de lexique
Erreur médicale : l'erreur médicale désigne une faute ou une négligence commise par un praticien tel que dans le domaine de la dentisterie par exemple, causant un préjudice à la victime, pouvant entraîner des conséquences graves voire mortelles.
Infectieux : ce terme se réfère à une pathologie causée par des agents pathogènes, tels que les bactéries, les virus, les champignons ou les parasites, qui se propagent facilement entre individus.
Aléa thérapeuthique : l'aléa thérapeutique se réfère à un effet secondaire imprévu et non maîtrisable d'actes médicaux, même correctement effectués, pouvant entraîner une complication ou un dommage.
Préjudices : le préjudice est un dommage ou une perte subis par une personne, causés par l'action ou l'inaction d'une autre. Il peut être physique, moral, matériel, sexuel, esthétique ou financier.
Evaluation médico-légale : l'évaluation médico-légale est l'examen d'une personne pour déterminer l'ampleur des blessures ou des préjudices, souvent pour des fins légales, comme l'exécution d'un rapport d'accident ou d'agression.
FAQ récapitulatif sur l'infection nosocomiale I.N
Qu'est-ce qu'une I.N ?
Une I.N est une infection contractée dans des centres hospitaliers, qui n'était ni présente, ni en incubation au moment des admissions des individus.
Quels sont les principaux types d'I.N ?
Les plus courantes comprennent l'I.N des voies urinaires, de la peau, des tissus mous, du sang, des pratiques post-chirurgicales et au niveau des pneumonies.
Qui est le plus susceptible de contracter une I.N ?
Les patients immunodéprimés, les personnes âgées, les nouveaux-nés et ceux qui sont hospitalisés pour une longue période ou qui ont subi une chirurgie sont plus susceptibles de contracter une I.N.
Comment les I.N sont-elles transmises ?
Les I.N peuvent être transmises par le personnel soignant, par les environnements hospitaliers, par l'air, par les dispositifs médicaux ou d'une personne à un autre.
Quelles sont les conséquences des I.N ?
Les I.N peuvent prolonger la durée des séjours hospitaliers, augmenter la morbidité et la mortalité et augmenter les coûts médicaux.
Comment faire de la prévention ?
Les I.N peuvent être prévenues par le respect rigoureux des mesures d'hygiène, comme le lavage des mains, le nettoyage des surfaces et des dispositifs médicaux (matériel), l'utilisation d'équipements de protection individuelle et le respect des protocoles d'isolation.
Quels sont les germes les plus souvent à l'origine des I.N ?
Les plus souvent impliqués comprennent Staphylococcus aureus (y compris MRSA), Escherichia coli, Pseudomonas aeruginosa et Clostridium difficile.
Quelles sont les actions à entreprendre en cas de suspicion ?
Si une I.N est suspectée, il faut prévenir l'équipe soignante immédiatement. Des tests de diagnostic seront effectués pour confirmer l'I. et des traitements appropriés seront administrés.
Comment sont traitées les I.N ?
Le traitement dépend du type d'I. et de l'organisme en cause. Il peut comprendre un antibiotique, des antiviraux, des antifongiques, ainsi que des mesures de support, comme l'hydratation et la gestion de l'oxygénation.
Qu'est-ce que l'antibiorésistance et comment est-elle liée aux infections nosocomiales ?
L'antibiorésistance est la capacité de la bactérie à résister aux effets des antibios. C'est ce qui fait le lien avec les I.N, car l'usage fréquent et parfois inapproprié d'antibiotique dans les hôpitaux en France peut favoriser le développement de souches résistantes.
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- décembre 2024
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